La France mène ses premières frappes massives sur les cerveaux des français.

D’après des sources concordantes, ce serait après un conseil de guerre gouvernemental dans le bureau du 1er ministre Manu ‘militari’ Valls que la décision aurait été prise dans le plus grand secret de frapper massivement le temps de cerveau disponible des français.

C’est dans le contexte d’une Europe confrontée à un afflux de réfugiés fuyant la guerre, la misère, l’esclavage, les conflits en Syrie, en Afrique, au Moyen-Orient, et alors que les élections régionales et présidentielles en France se profilent à l’horizon, que le gouvernement aurait décidé de sortir l’artillerie lourde sur une chaîne du service public français.

C’est donc 23H30 GMT que la député européenne Nadine Morano a été larguée sur le plateau de télévision du service public de France2 dans l’émission animée par Laurent Ruquier « On n’est pas couché ».

Titulaire d’un Master en fautes d’orthographes, d’un DEA en approximations, d’un Doctorat en absence de culture politique, la Pasionaria sarkozyste – également amatrice éclairée de pizza béchamel – a eu pendant d’interminables minutes de souffrances collectives tout loisir de bombarder le cerveau de plus d’1,5 millions de téléspectateurs.

Le choc aura été d’une extrême violence. Lancé par la Castafiore des PMU : « La France est un pays majoritairement de race blanche » aura pulvérisé tout bon sens intellectuel et scientifique, balayé plusieurs siècles d’histoires migratoires, rayé de la carte l’histoire coloniale française, et relégué le Point Godwin au rang de frappe chirurgicale.

Satisfait des premiers résultats de ces frappes massives, le gouvernement serait en train de collecter via les statistiques sondagières les effets concomitants de la montée du Front National, dont la présence de la candidate Madame Le Pen au premier tour de la présidentielle de 2017 constitue pour les deux candidats de droite M. Nicolas Sarkozy (Droite Décomplexée) et M. François Hollande (Droite Complexée) une condition sine qua non à une présence au deuxième tour de l’élection présidentielle.

C’est par un message sur le réseau social FaceBlanc que de son coté M. Jean-Marie Le Pen s’est dit pour sa part choqué par les propos de Madame la député européenne Morano :

« Même moi je ne suis pas aussi raciste. Elle exagère un peu quand même »